Les nouveautés du juin qui me font (très) envie

Chers lecteurs,

C’est la même histoire chaque mois : quels livres acheter parmi le panel de nouveautés toutes plus tentantes les unes que les autres ? Je ne sais pas comment vous faites pour choisir vos achats livresques mais j’ai ma petite méthode désormais :

  1. Est-ce que je vais le recevoir en service de presse —> Bah oui, vaut mieux être prévenus. Remarquez au pire, ça fait un livre à vous faire gagner si j’ai un doublon.
  2. Aurais-je vraiment le temps de le lire prochainement ? (Sous entendu : suis-je à jour dans mes lectures ? Sans se mettre la pression pour autant, juste s’organiser)
  3. Est-il vraiment ce dont j’ai envie/besoin en ce moment ?
  4. Son prix rentre-t-il dans mon réel budget ? Pas le fameux budget « ça passe ou ça casse, je m’en fiche il me le faut ».

Bon ce ne sont que des questions préliminaires à mon achat potentiel. Ajoutez y que j’aime aller voir la note moyenne du livre sur Livraddict, Goodreads et Babelio pour prendre la température. Toutefois, je fais souvent selon mon instinct malgré tout… Oui, je sais, un peu paradoxal. Bref, si on entrait enfin dans le vif du sujet ? Quelles sont les sorties de juin qui me font vraiment envie ? Voyons cela ! Lire la suite

Rentrée littéraire 2017 : premier repérage des sorties

Hello les flamants,

Aujourd’hui j’avais envie de vous montrer mes petits repérages concernant la rentrée littéraire 2017, tout en sachant que je n’ai pas creusé de manière bien approfondie. Je laisse les livres m’apparaitre dans mes fils RS ou sur des sites au fur et à mesure pour garder la saveur de la découverte, de la surprise. Toujours est-il que certains livres sont déjà arrivés à la maison ou ne vont plus tarder. D’autres sont dans mes listes d’achat si le budget suit. Et ceci n’est qu’une première sélection.

Par le vent pleuré de Ron Rash – éditions Du Seuil – 1 août 2017

Dans une petite ville paisible au cœur des Appalaches, la rivière vient de déposer sur la grève une poignée d’ossements ayant appartenu à une jeune femme. Elle s’appelait Ligeia, et personne n’avait plus entendu parler d’elle depuis des décennies.
Été 1969 : le summer of love. Ligeia débarque de Floride avec l’insouciance et la sensualité de sa jeunesse, avide de plaisirs et de liberté. C’est l’époque des communautés hippies, du Vietnam, de la drogue, du sexe et du Grateful Dead. Deux frères, Bill et Eugene, qui vivent bien loin de ces révolutions, sous la coupe d’un grand-père tyrannique et conservateur, vont se laisser séduire par Ligeia la sirène et prendre dans le tourbillon des tentations. Le temps d’une saison, la jeune fille bouleversera de fond en comble leur relation, leur vision du monde, et scellera à jamais leur destin – avant de disparaître aussi subitement qu’elle était apparue.
À son macabre retour, les deux frères vont devoir rendre des comptes au fantôme de leur passé, et à leur propre conscience, rejouant sur fond de paysages grandioses l’éternelle confrontation d’Abel et de Caïn.

Une histoire des loups de Emily Fridlund – Editions Gallmeister –  17/08

Madeline, adolescente un peu sauvage, observe à travers ses jumelles cette famille qui emménage sur la rive opposée du lac. Un couple et leur enfant dont la vie aisée semble si différente de la sienne. Bientôt, alors que le père travaille au loin, la jeune mère propose à Madeline de s’occuper du garçon, de passer avec lui ses après-midi, puis de partager leurs repas. L’adolescente entre petit à petit dans ce foyer qui la fascine, ne saisissant qu’à moitié ce qui se cache derrière la fragile gaieté de cette mère et la sourde autorité du père. Jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

Troublant et poétique, best-seller dès sa parution aux États-Unis, le premier roman d’Emily Fridlund a été acclamé par la critique.

Je m’appelle Lucy Barton d’Elisabeth Strout – Fayard – 23/08

Hospitalisée à la suite d’une opération, Lucy Barton reçoit la visite impromptue de sa mère avec laquelle elle avait perdu tout contact. Tandis que celle-ci se perd en commérages, convoquant les fantômes du passé, Lucy se trouve plongée dans les souvenirs de son enfance dans une petite ville de l’Illinois – la pauvreté extrême, honteuse, la rudesse de son père, et pour finir son départ pour New York, qui l’a définitivement isolée des siens. Peu à peu, Lucy est amenée à évoquer son propre mariage, ses deux filles, et ses débuts de romancière dans le New York des années 1980. Une vie entière se déploie à travers son récit lucide et pétri d’humanité, tout en éclairant la relation entre une mère et sa fille faite d’incompréhension, d’incommunicabilité, mais aussi d’une entente muette et profonde. Publié aux États-Unis en janvier 2016, Je m’appelle Lucy Barton s’est rapidement hissé en tête des ventes et a été salué comme un chef-d’oeuvre par la critique littéraire.

Motel Lorraine par Brigitte Pilote – Michel Lafon – 7/09

Nous sommes en 1977. Sonia, diseuse de bonne aventure, fuit Montréal avec ses deux filles, Lou et Georgia, pour trouver refuge à Memphis, dans la chambre 306 du motel Lorraine, inoccupée depuis ce fameux 4 avril 1968 où Martin Luther King y a été assassiné. Elles partageront leur destin avec la sublime Alabama, Jacqueline Smith, femme de chambre au Lorraine, Grace DePriest, directrice de la chorale d’une petite église baptiste, ou encore Lonzie, le repris de justice devenu photographe pour son ami Aaron. Chacun à sa manière, ces personnages aux destins croisés incarnent le rêve d’égalité pour lequel le révérend King a donné sa vie.
Mais quel poids auront leurs ambitions et leurs gestes dans cette Memphis encore marquée par les divisions raciales ? Les secrets de chacun resteront-ils bien gardés ? Et enfin, pourquoi Sonia s’est-elle enfuie avec ses enfants ?

Roman réaliste, d’une écriture maîtrisée et de haute tenue littéraire, Motel Lorraine aborde un sujet porteur et universel : réaliser son rêve

La Colère de Kurathi Amman de KANDASAMI Meen – Plon – 28/08

Un roman coup de poing par la nouvelle voix forte de la littérature indienne.
« Tu veux que je comprime la tragédie au format Twitter ? Comment peut-on se glisser ainsi au coeur des ténèbres ? »
Comment transformer un drame en fiction ? Pourquoi écrire sur une tuerie qui a eu lieu il y a plus de quarante ans en Inde et sur ses quarante-quatre victimes oubliées par l’histoire ?
À travers les voix aussi diverses que celles des intouchables ou des propriétaires terriens, l’auteur décrit ce massacre, se plaçant sous le patronage de l’irascible déesse Kurathi Amman. Au-delà de l’émotion et de la colère provoquées par ces faits, l’auteur pose la question de la fiction et de ses limites en n’hésitant pas à malmener son lecteur.

Ce roman tendu, entre rage contenue, lyrisme et humour grinçant, nous donne un aperçu des forces qui ont contribué à la création de l’Inde moderne.

La Maison des Turner de Angela Flournoy – Les Escales – 28/08

Partez à la rencontre de la famille Turner : treize frères et sœurs qui se chamaillent et qui s’aiment passionnément.  Unanimement salué par la critique, La Maison des Turner inaugure le renouveau du grand roman américain.
Cela fait plus de cinquante ans que la famille Turner habite Yarrow Street, rue paisible d’un quartier pauvre de Detroit. La maison a vu la naissance des treize enfants et d’une foule de petits-enfants, mais aussi la déchéance de la ville et la mort du père.
Quand Viola, la matriarche, tombe malade, les enfants Turner reviennent pour décider du sort de la maison qui n’a désormais plus aucune valeur, la crise des subprimes étant passée par là.
Garder la maison pour ne pas oublier le passé ou la vendre et aller de l’avant ? Face à ce choix, tous les Turner, de Cha-Cha, le grand frère et désormais chef de famille, à Lelah, la petite dernière, se réunissent. Et s’il fallait chercher dans les secrets et la mythologie familiale pour trouver la clef de l’avenir des Turner et de leur maison ?

Au nom des nuits profondes deDorothée Werner – Fayard – 23/08

Elle est passée de fille à papa à femme au foyer. Parfaite babyboomeuse, absente à elle-même comme aux autres, convaincue de l’infériorité intrinsèque de son sexe.
Et puis tout a volé en éclats.
Quelques années ont suffi pour faire basculer l’époque dans l’égalitarisme. Des femmes en tailleur pantalon devenaient cadres supérieurs, adieu victimes geignant au-dessus de leurs casseroles, le mot « émancipation » était sur toutes les lèvres.
Alors elle a voulu rattraper le temps perdu, envers, contre tout, et dans le désordre.
Son enfant n’a rien compris mais a tout vu, tout entendu. Et il fallait bien qu’un jour elle raconte sa version hallucinée de l’histoire : le destin d’une femme ensorcelée, comme tant d’autres de sa génération, par l’appel de la liberté. À ses risques et périls.

Underground Railroad de Colson Whitehead – Albin Michel – 23/08
Cora, seize ans, est esclave sur une plantation de coton dans la Géorgie d’avant la guerre de Sécession. Abandonnée par sa mère lorsqu’elle était enfant, elle survit tant bien que mal à la violence de sa condition. Lorsque Caesar, un esclave récemment arrivé de Virginie, lui propose de s’enfuir, elle accepte et tente, au péril de sa vie,  de gagner avec lui les États libres du Nord.
De la Caroline du Sud à l’Indiana en passant par le Tennessee, Cora va vivre une incroyable odyssée. Traquée comme une bête par un impitoyable chasseur d’esclaves qui l’oblige à fuir, sans cesse, le «  misérable cœur palpitant  » des villes, elle fera tout pour conquérir sa liberté.L’une des prouesses de Colson Whitehead est de matérialiser l’«  Underground Railroad  », le célèbre réseau clandestin d’aide aux esclaves en fuite qui devient ici une véritable voie ferrée souterraine, pour explorer, avec une originalité et une maîtrise époustouflantes, les fondements et la mécanique du racisme.
À la fois récit d’un combat poignant et réflexion saisissante sur   la lecture de l’Histoire, ce roman, couronné par le prix Pulitzer, est une œuvre politique aujourd’hui plus que jamais nécessaire.«  Un roman puissant et presque hallucinatoire. Une histoire essentielle pour comprendre les Américains d’hier et d’aujourd’hui.  »  The New York Times

Eh bien voilà pour cette toute première sélection. J’en ai déjà d’autres en tête mais ne précipitions pas les choses. Belle découverte si vous n’aviez pas encore pris le temps d’explorer la rentrée littéraire sinon n’hésitez à me dire quel titre vous attendez le plus !

Ces sorties qui font envie #2

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La première fois j’avais intitulé ce « rendez-vous » Ces sorties que j’attends avec impatience. Mais là, ce que je vous présent est déjà sorti donc le titre colle pas. Bref, changement de nom et un programme spécial aujourd’hui.

BUILDER_17NouveauxTalents0216En effet, j’ai décidé de vous parler des livres qui me font TRES envie dans les nouveaux talents du dernier catalogue France Loisirs. Oui j’y suis abonnée et j’en suis très contente. Le dernier catalogue nous présente donc 18 nouveaux talents, à l’honneur soit pour leur premier roman soit pour celui de leur révélation. Et parmi                                                                                                             ces 18 romans, certains me tentent vraiment.
Présentation :

Je reviendrai sur tes pas de Liam McAllister

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Il laisse ses victimes baignant dans leur sang, au son d’une chanson de David Bowie.
La presse l’a surnommé Major Tom, mais le tueur au scalpel reste insaisissable.
Pour mettre un terme à cette cascade de meurtres, Scotland Yard propose au taciturne Martin Peterson une nouvelle partenaire, la mystérieuse et séduisante Kate Mulligan. Un duo électrique qui doit agir au plus vite…

320 pages

 

 

 

 

 

 

Le maître des insectes de Stuart Prebble

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Londres, années 1960. Quand Jonathan émerge d’un mauvais sommeil sur le sol du salon, il a les mains couvertes de sang et le corps de sa femme Harriet gît à ses côtés. Seule lui revient à l’esprit une violente dispute avec cette dernière, qu’il soupçonnait d’infidélité. Jonathan est le tuteur de son grand frère Roger, dont le handicap mental l’empêche d’être autonome et qui consacre tout son temps libre à un étrange et spectaculaire élevage d’insectes.
Anéanti par la mort de sa jeune épouse, Jonathan est néanmoins déterminé à échapper à la police, terrifié à l’idée que s’il était arrêté pour meurtre, Roger serait placé dans une institution. Il a sacrifié trop de choses, y compris son mariage, pour accepter cette éventualité. Lui seul peut protéger Roger, à la fois incapable d’exprimer sa pensée et terriblement lucide quand il s’occupe de ses milliers de créatures grouillantes.

432 pages

 

 

 

Stay Alive de Simon Kernick

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Dans ce thriller bluffant, le britannique Simon Kernick vous entraîne dans une course contre la montre pour éviter la mort.

Amanda rentre chez elle et découvre, à l’étage, son mari au lit avec sa maîtresse… tous deux ont été assassinés. Le meurtrier est toujours là et veut ajouter Amanda à son tableau de chasse. Parvenant de justesse à lui échapper, elle se lance à corps perdu dans une fuite dans laquelle elle entraîne une famille sans histoire.

352 pages

 

 

 

 

Quelque part avant l’enfer de Niko Tackian

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Anna est miraculée.
Après un accident et deux semaines de coma, elle est toujours en vie. Est-ce la promesse d’un nouveau départ ? Une chance avec son fils et son mari de tout recommencer ?
Mais de l’autre côté, l’espace d’une infime seconde, alors que sa vie était suspendue à un fil, elle a vu le tunnel… une lumière noire, et un homme lui promettant de la tuer…
Il la poursuit encore.
Pourquoi l’a-t-il choisie comme témoin de ses crimes ?
Parfois, il vaut mieux ne pas revenir…

336 pages

 

 

 

 

La cible idéale de Claudine Rouget

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Quatre jours sans donner de nouvelles, voilà qui ne ressemble pas à Lina, jeune étudiante. Inquiète, sa mère Nora décide de lui rendre visite. En pénétrant dans son appartement, c’est une vision cauchemardesque qui la saisit : sa fille nue, prostrée au pied de son lit, le visage en sang.
Mutique depuis l’agression et le viol dont elle a été victime, Lina est hospitalisée et mise sous calmants. Nora se sent impuissante face à la détresse de sa fille, mais, prête à tout pour comprendre ce qui s’est passé, elle décide de mener l’enquête…

Collection Nouvelles Plumes

304 pages

 

 

 

De mères en filles – Alice de Dominique Drouin

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Provence, 1890. Alice naît de l’union illégitime entre un homme et sa jeune belle-sœur. Le destin veut qu’elle grandisse sous la garde de son père naturel et de son épouse, qui ignore tout des origines de sa fille adoptive. Perpétuellement en quête d’amour et de vérité, elle trouve dans la pratique du piano son seul réconfort.
Claudio, un immigrant italien pauvre, travaille sur le parvis de l’Opéra de Lille. Sa vie bascule lorsqu’un maestro l’entend chanter et lui fait une offre qu’il ne peut refuser. À quinze ans, il quitte tout pour devenir baryton.
Dès leur première rencontre, ces deux artistes s’enflamment d’une grande passion amoureuse et musicale. Mais les conventions sociales, leurs différences et ces lourds secrets de famille semblent se mettre en travers de leur histoire. Obligés de quitter la France, pourront-ils, dans ce Canada où tout est à construire, surmonter les difficultés et vivre enfin leur amour au grand jour ?

Premier tome d’une saga familiale – 432 pages

 

 

Le silence de Mélodie de Sharon M. Draper (bon ok celui-ci je connais depuis sa sortie et le veut depuis tout ce temps)

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Mélodie, à cause de sa maladie, ne peut ni parler ni marcher. Pourtant, dans sa tête fourmillent idées, images et émotions. En butte à l’incompréhension, elle reste animée d’une énergie sans faille pour sortir de l’enfermement imposé par son corps.

Un roman au ton léger, plein d’humour… et d’espoir.

288 pages

 

 

 

 

 


 

Et en dehors de la sélection Nouveaux Talents voici les titres que j’ai retenu dans ce nouveau catalogue. Il va être difficile de faire des choix. 

Daisy Sisters de Henning Mankell

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Eté 1941, en Suède. Deux amies, Elna et Vivi, dix-sept ans, de condition modeste, s’offrent une escapade à bicyclette à travers la Suède en longeant la frontière de la Norvège occupée par les nazis. L’aventure, d’abord idyllique – l’été de toutes les joies, de tous les espoirs –, est de courte durée : Elna, violée, revient chez elle enceinte d’une petite fille qu’elle appellera Eivor.
1960. Eivor, dix-huit ans, en révolte contre sa mère, veut devenir une femme libre. Elle s’enfuit du village avec un jeune délinquant. Que lui réserve l’avenir ? Réalisera-t-elle son rêve d’indépendance et de liberté, et à quel prix ?

En s’attachant aux destins d’une mère et de sa fille entre 1941 et 1981 en Suède, Mankell brosse le portrait de ces générations de femmes (épouses, mères, ouvrières) qui ont dû lutter avec leurs propres désirs et renoncements pour exister et se faire une place au cœur d’une société où s’élaborait le modèle suédois.

592 pages

 

Les ombres de Rutherford Park de Elizabeth Cooke

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Pour la famille Cavendish, Rutherford Park est bien plus qu’une propriété. C’est un mode de vie régi par des règles strictes, des réceptions somptueuses… mais aussi par des désirs inexprimés et des non-dits.
Octavia Cavendish, la maîtresse de maison, vit comme un oiseau dans une cage dorée. Son mari William a fait fructifier la fortune de la famille, mais il étouffe dans son rôle. Quant à Harry, leur fils, il ne rêve que de participer à l’aventure de l’aviation naissante plutôt que de suivre sagement les traces de son père.
La veille de Noël 1913, le monde bien rangé de Rutherford Park se fissure. Octavia découvre que son mari dissimule un lourd secret depuis des années. Et puis, il y a Emily, une femme de chambre, qui est sur le point de faire éclater un scandale qui risque de ruiner la famille…

448 pages

 

 

Les ailes d’émeraude, tome 2, L’Exil de Alexiane De Lys —-> Celui-ci c’est certain je le prends, j’attendais sa sortie avec impatience

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Tout juste de retour au camp des Myrmes, Cassiopée affronte une première déconvenue : Gabriel est en mission espionnage et les deux amoureux sont brutalement séparés.
Arrive alors Leo, un jeune homme mal en point qui ne tarde pas à révéler sa véritable identité. Ancien Myrme devenu Narque, il a un message à lui transmettre de la part de Manassé : Cassiopée est en danger au sein de son propre clan. Le mal serait-il vraiment du côté des Narques ?
Gabriel est bientôt porté disparu. Tout porte à croire qu’il est mort, mais Cassiopée, convaincue du contraire, décide de suivre son intuition et part à sa recherche, aidée de ses amis.

496 pages

 

 

 

Du même sang de Laura McHugh

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En plein cœur des spectaculaires monts Ozark, dans l’État du Missouri, les habitants de Henbane parlent encore tout bas de la mère de Lucy, une superbe femme venue d’ailleurs qui a soudainement disparu alors que Lucy était encore enfant.
Dix ans plus tard, le drame frappe à nouveau lorsque sa meilleure amie, Cheri, est retrouvée en pleine nature, assassinée. Hantée par ces deux disparues, la mère qu’elle a peu connue et l’amie qu’elle n’a pu sauver, Lucy décide de percer le mystère de ce crime affreux. Cependant, elle va vite se rendre compte que malgré ses liens étroits avec sa terre natale, elle est toujours perçue comme la fille d’une étrangère par une communauté recluse et méfiante. Le secret qu’elle va découvrir fera émerger, derrière la nature magistrale qui l’entoure, des zones d’ombre dans lesquelles il ne fait pas bon s’aventurer, surtout lorsqu’on est une jeune femme…

448 pages

 

 

Voilà pour mes envies du moment au Club France Loisirs. Bon plan : ils référencent désormais les 4 tomes de La Sélection de Kiera Cass, si vous ne les possédez pas encore vous économiserez 2 ou 3 euros par tome.

Vous êtes abonnés chez France Loisirs ? Si oui, en êtes vous contents ? Et que pensez-vous de leur sélection Nouveaux Talents ?

PS : cet article n’est en aucun cas sponsorisé.

Il s’agit juste de vous partager mes envies

du moment dans le nouveau catalogue