Chers lecteurs,

C’est mardi et le mardi c’est ? TTT ! Le thème est plutôt cool en plus cette semaine, alors pas de triche, on y va.

Les 10 romans que vous n’auriez probablement jamais lu si vous vous étiez arrêté à votre première impression

After : je ne comprenais pas l’engouement et je trouvais la couverture VF tellement moche que je n’avais pas du tout envie de mettre de l’argent pour comprendre. Puis on me l’a offert et je suis tombée amoureuse d’Hardin et vous connaissez la suite.

Lait et miel : parce que la poésie n’est pas ma tasse de thé. Mais ce livre est tellement beau que cela aurait été bien dommage de passer à côté

Seuls les enfants savent aimer : si Benoît du Cherche-Midi ne me l’avait pas fait découvrir, je n’aurais peut-être jamais touché à ce livre qui est pourtant une merveille.

Résilience de Julia M. Tean : c’est Julia qui me l’a fait lire et connaitre. Sans ce contact, j’ignore si j’aurais remarqué ce livre parmi d’autres. Pourtant c’est une telle claque !

Petites Reines de Jimmy Lévy : le premier chapitre est d’une telle violence, d’une telle force que je n’aurais jamais pensé continuer. Pourtant, il m’intriguait, je voulais savoir et j’en garde un instant de lecture mémorable.

Archer’s voice de Mia Sheridan : je détestais cette couverture, mais genre vraiment. Je l’ai donc acheté en numérique pour ne pas avoir la couverture sous les yeux mais j’ai tellement aimé le roman que j’ai fini par le racheter en papier.

City on Fire de Garth Risk Hallberg : une brique de 1000 pages, un nouveau phénomène annoncé. Sauf que quand vous l’avez dans les mains, vous ne faites plus la même tête. Pourtant, s’il est un peu fastidieux à lire, il en reste passionnant.

Angemort de Sire Cédric : avouons qu’il faut être bien accroché et prêts à une telle expérience. J’ai adoré ce livre, une fois que j’ai réussi à m’adapter à l’univers si gothique et particulier.

Le corps exquis de Poppy Z.Brite : pas étonnant vu celui que je viens de citer. J’ai eu la nausée parfois en lisant ce roman. Il est exceptionnel, une écriture unique et franche, atypique et violente.

Nymphéas noirs de Bussi : bah oui, pour moi Bussi, bof quoi, j’avais une image de romans pas du tout pour moi. Et puis j’ai commencé et j’ai adoré. J’aime sa plume et sa facilité de géographe à nous faire voyager dans ce village de Giverny.

Voilà pour une liste « de tête », je suis sûre que j’aurais pu en trouver bien d’autres en regardant mes bibliothèques. Désormais, je ne juge ni à l’emballage, ni aux éventuelles critiques, je me fais mon avis par moi-même.

Et vous, avez-vous tendance à résister aux « à priori » ou au contraire ?