Les sorties du mois d’octobre qui font (beaucoup trop) envie… (Partie 2 et fin)

Comme mon précédent article était déjà bien long (et encore je vous ai épargné le nombre de pages et la date de sortie, car je sais que vous êtes grands et saurez vous renseinger), j’ai dû me résoudre à le faire en deux parties. Ainsi, pour la première vous avez eu le Young Adult et le New Adult, pour la partie 2, tout le reste. Je précise que je ne suis allée relever les livres de poche sinon on ne s’en sortait pas, ce mois est beaucoup trop riche. Bref, nous voilà repartis ! En piste !

Les autres titres (tous genres confondus)

Les yeux de Sophie de Jojo Moyes (Milady)

Paris, 1916. Sophie Lefèvre doit prendre soin de sa famille alors que son mari part pour le front. Quand la ville tombe entre les mains de l’armée allemande, au milieu de la Première Guerre mondiale, Sophie est contrainte de faire le service tous les soirs à l’hôtel où réside la Wehrmacht. À l’instant où le nouveau commandant découvre le portrait qu’Édouard a fait de sa femme, cette image l’obsède. Une dangereuse obsession qui menace la réputation, la famille et la vie de Sophie, et va la conduire à prendre une terrible décision.
Un siècle plus tard, à Londres, Liv Halston reçoit ce portrait en cadeau de la part de son mari avant de recueillir son dernier soupir. Sa vie est bouleversée de plus belle lorsqu’une rencontre fortuite lui permet de découvrir la véritable histoire de ce tableau.

 

Les hautes lumières de Xavier Demoulins (JC Lattès)

C’est une histoire d’amour entre ombre et lumières, celle qui unit Nina, la coiffeuse de Bondy, à son mari Tahar, le chauffeur de taxi marocain.
C’est l’histoire d’un combat : Nina ne parvient pas à tomber enceinte, mais est prête à tout pour devenir mère. Ayant adopté avec Tahar un petit garçon au Maroc, elle se heurte à l’administration, qui refuse qu’il soit ramené en France.
C’est l’histoire de désirs qui s’entrechoquent : pendant que la jeune femme, à El Jadida, se bat pour aller au bout de l’adoption, Tahar, resté à Paris, s’éprend d’une photographe qui lui propose son aide afin de rapatrier l’enfant clandestinement…
Une terrible course contre la montre s’engage alors ; dans cette course, certains s’effondreront juste avant la ligne d’arrivée, d’autres parviendront à leurs fins – mais à quel prix ?
Tous, du moins, auront couru un risque : le risque d’aimer.
Dans ce roman rythmé et saisissant, Xavier de Moulins interroge la puissance destructrice de nos désirs, l’ambivalence des êtres et l’ironie du sort.

Mrs Creasy a disparu de Joanna Canon (Harper Collins France)

« Ce sont les décisions anodines, celles qui se glissent dans le quotidien sans qu’on les remarque. Ce sont elles qui nous tuent.  »
1976. C’est l’été sur l’Avenue.
Alors qu’une redoutable canicule s’insinue dans les cours et les jardins, dans le moindre interstice de vies comme mises entre parenthèses, une voisine disparaît. Tandis que Grace et Tilly mènent l’enquête, les esprits s’échauffent, les langues se délient, les souvenirs remontent à la surface – les souvenirs, et la culpabilité.
Car dix ans plus tôt, quelque chose est arrivé dans cette rue bien comme il faut. Quelque chose de terrible. Et face au vide causé par la disparition de leur voisine, Sheila, Petit Brian, Harold et tous les habitants de l’Avenue sont forcés de faire face au vacarme assourdissant de leurs propres doutes. Chacun à leur tour, ils vont se quereller, se jeter leurs vieilles rancœurs au visage et s’épier les uns les autres, bien à l’abri derrière leurs portes closes…
Qu’est-il arrivé à Margaret Creasy? Que cache l’anxiété des voisins ? Et qu’est-ce que Walter Bishop, l’inquiétant occupant du numéro 11, a bien pu leur faire, pour qu’ils gardent une telle dent contre lui ?

Ne me quite pas de Mary Torjussen (Bragelonne)

Personne ne disparaît jamais complètement…
Son petit ami a disparu du jour au lendemain, sans laisser de trace. Et maintenant, Hannah est convaincue que quelqu’un la suit.

Un jour, vous partez travailler. Un jour comme les autres, jusqu’à ce que vous rentriez chez vous, le soir, dans une maison vide. Votre petit ami est parti et il a tout emporté. Pire, il a effacé la moindre trace de son existence, jusque sur les réseaux sociaux. A son bureau, personne ne l’a vu depuis plusieurs semaines. C’est comme s’il n’avait jamais existé. Est-il vraiment possible de disparaître comme ça  ?Le pire reste à venir. Car non seulement vous vous êtes mise à le chercher, mais quelqu’un, maintenant, s’est mis à vous suivre.
Ne me quitte pas raconte cette histoire-là, l’histoire d’Hannah, qui pourrait aussi être la nôtre.

Orgueil et Préjugés version collector  (Milady)

Victoria par Daisy Goodwin  (Milady)

Alors qu’elle vient tout juste d’avoir dix-huit ans, Alexandrina Victoria devient reine de Grande-Bretagne et d’Irlande. Dès lors, la jeune souveraine surprend tout le monde : elle abandonne son prénom détesté pour adopter celui de Victoria, insiste pour avoir ses propres appartements et est déterminée à rencontrer ses ministres seul à seul. L’un d’entre eux, Lord Melbourne, devient très vite son secrétaire particulier. Il aurait peut-être pu devenir davantage… si tout le monde n’avait pas soutenu que la reine devait épouser son cousin, le taciturne prince Albert. Mais ce que Victoria ignore encore c’est qu’en amour comme en politique, il ne faut pas se fier aux apparences.

Attachement de Rainbow Rowell (Milady)

Le coup de foudre est possible, même avant le premier regard !
1999. Lincoln, gentil geek aux faux airs d’Harrison Ford, travaille dans une entreprise où son rôle consiste à contrôler les e-mails des employés. C’est ainsi qu’il parcourt les échanges de Jennifer et de Beth, deux copines aussi drôles et imprévisibles qu’attachantes.
Sans même l’avoir vue, Lincoln va tomber amoureux de Beth. Mais comment lui déclarer sa flamme sans passer pour un fou ? Surtout que la jeune femme semble avoir un faible pour un « inconnu » qui travaille dans le même immeuble…

Les coeurs brisés ont la main verte de Abbi Waxman (Belfond)

Amitié, amour et bouturage, rien de tel qu’un cours de jardinage pour réparer le cœur brisé d’une jeune mère de famille ! Plein de charme, d’authenticité et de douceur, un roman que l’on voudrait ne jamais refermer.
Californienne de trente-quatre ans, mère de deux adorables chipies et illustratrice pour une super maison d’édition, Lili semble mener une vie rayonnante. Pourtant, derrière son sourire et son grand sens de l’autodérision, la jeune femme peine à se remettre du décès accidentel de son mari, trois ans plus tôt. Depuis, et au grand dam de Rachel, sa sœur cadette qui s’évertue à placer de sémillants célibataires sur son chemin, le cœur de Lili est en stand by. 
Mais un vent nouveau s’apprête à souffler. Chargée d’illustrer une encyclopédie de botanique, la jeune femme se voit imposer des cours de jardinage, le samedi matin, au beau milieu d’un parc de L.-A. L’heure est venue pour la jeune femme de troquer pyjama et télé contre une paire de bottes et du compost ! Mais comment tisser des liens avec des inconnus ? Lili est-elle vraiment prête à quitter sa zone de confort ? 
Amour, amitié et rempotage ! En compagnie de ses deux filles, de Rachel et d’autres âmes esseulées, Lili va vite découvrir les vertus du jardinage pour délier les langues et réparer les cœurs…

Depuis l’au-delà de Bernard Werber (Albin Michel) (Merci ma jolie Souricette préférée)

Je me nomme Gabriel Wells. Je suis écrivain de romans à suspens. Ma nouvelle enquête est un peu particulière car elle concerne le meurtre de quelqu’un que je connais personnellement : Moi-même. J’ai été tué dans la nuit et je me demande bien par qui. Pour résoudre cette énigme j’ai eu la chance de rencontrer Lucy Filipini. En tant que médium professionnelle, elle parle tous les jours aux âmes des défunts. Et c’est ensemble, elle dans le monde matériel, moi dans le monde invisible, que nous allons tenter de percer le mystère de ma mort.

Le tueur au miroir de Fabio M. MITCHELLI (Robert Laffont – La bête noire)

 » Je n’ai fait que leur donner un instant de gloire.  » Willy B. Richardson, alias William R. Bradford (1948-2008), le  » Killer Photographer « .
Fasciné par leurs tatouages, il les appâte avec son appareil photo, fige leurs désirs de starlettes sur du papier glacé, puis les tue et s’empare de ce qu’il convoite. Le lendemain, on retrouve le corps de ces jeunes femmes sur les berges du Saint-Laurent, le pubis orné d’éclats de miroir et un morceau de peau découpé.
Pour piéger celui qu’à Montréal on appelle déjà  » le tueur au miroir « , il faut des flics borderline : Louise Beaulieu, qui se fiche des limites et des règles, et Carrie Callan, qui, sous son air bien sage, est un vrai pitbull.
Des photographies à clé, un secret de famille, des messages cryptés… Le passé rattrape Louise. Désorientée, elle ment et triche. Et Carrie soupçonne l’impensable : des liens entre l’enquêtrice québécoise et Singleton, le redoutable tueur en série qu’elles ont traqué ensemble un an auparavant.

Islanova de Jérôme Canut et Nathalie Hug

Rien n’avait préparé Julian Stark à une telle vision ce matin-là. 
Alors qu’il rentre chez lui pour évacuer sa maison menacée par un incendie de forêt, il trouve Charlie, sa fille de seize ans, au lit avec son beau-fils Leny. 
Certaine que son père va les séparer, Charlie persuade Leny de fuguer, direction le Sud-Ouest. Son idée : rallier la ZAD (zone à défendre) de l’Atlantique, située sur l’île d’Oléron. Là-bas, ils seront en sécurité le temps que Julian se calme. Là-bas, surtout, se trouve Vertigo, un homme charismatique dont elle écoute la voix sur les ondes depuis des mois. Vertigo, le leader de l’Armée du 12 Octobre, groupe d’écologistes radicaux. 
Ce que la jeune fille ignore, c’est que la ZAD abrite des activistes prêts à tous les sacrifices pour défendre leur cause, et qu’en s’y réfugiant, elle précipite sa famille dans une tragédie qui les dépasse tous. 

Le bois des ombres de Barbara DRIBBUSCH (Les Escales)

En découvrant les journaux intimes de sa grand-mère, Anne plonge au cœur d’un mystérieux sanatorium à l’époque nazie. Un roman bouleversant où la petite histoire rejoint la grande.
Lorsque sa grand-mère, Charlotte, décède, Anne Südhausen se rend à Innsbruck pour organiser son enterrement. La vieille dame, avec qui elle a perdu contact depuis près de vingt ans, lui a laissé un bien lourd secret : des journaux intimes, qu’elle a rédigés en 1943, lors de son séjour aux  » Bois des Ombres « , un étrange établissement, à mi-chemin entre le sanatorium et l’hôpital psychiatrique, théâtre de terribles événements qui changèrent à jamais la vie de Charlotte. 

La lecture de ces cahiers va être pour Anne source de révélations sur le passé de sa grand-mère, mais rapidement, celles-ci vont dépasser les simples secrets de famille. Pourquoi deux carnets ont-ils disparu ? Que contenaient-ils de si inquiétant ? Surtout, qui pourrait se sentir menacé par eux ? 
Sous la plume de Barbara Dribbusch, passé et présent se rejoignent pour mieux s’éclairer mutuellement. Le Bois des Ombres fait partie de ces romans qui happent le lecteur dès les premières pages et le marquera pour longtemps.

Le tout dernier été de Anne Bert (Fayard) (déjà chroniqué)

Juste quelqu’un de bien d’Angela Morelli (Harlequin)

À trente-quatre ans, Bérénice n’a plus aucune certitude. Tout ce qu’elle croyait savoir sur la vie a pris l’eau, elle multiplie les amants, mais ne tombe jamais amoureuse et, cerise sur le gâteau, voilà qu’elle n’arrive plus à écrire une ligne, alors que l’écriture est sa raison d’être. Heureusement, elle peut compter sur les trois femmes de sa vie  : sa mère et sa grand-mère, avec qui elle partage une jolie maison cachée au cœur de Paris, et Juliette, son amie d’enfance.
Mais ça ne suffit plus.
Bérénice n’a donc plus le choix. Elle doit enfin affronter les questions qu’elle a toujours refusé de se poser et accepter de faire une place… aux hommes de sa vie. En commençant par son père, dont elle ne sait rien, et par Aurélien, un homme surgi du passé, qu’elle vient de croiser et qui ne l’a pas reconnue.

Une robe couleur de vent de Sophie Nicholls (Préludes) (Merci à une chère amie qui se reconnaîtra)

Fabia Moreno vient de s’installer avec sa fille, Ella, dans la petite ville de York, où elle a ouvert un magasin de vêtements vintage. Une boutique de rêve, comme les femmes de York n’en ont encore jamais vu. Car Fabia possède un don pour dénicher la robe idéale et l’ajuster à chaque cliente. Autour de son commerce, bientôt, les destins se croisent, les identités se révèlent et les amours s’épanouissent… mais naissent aussi la méfi ance et la jalousie.
L’exubérance de Fabia dérange, et la jeune Ella, à la peau cuivrée, est une adolescente bien mystérieuse.
Parviendront-elles à s’intégrer dans la communauté ?
Quel sombre secret cache Fabia derrière ses tenues flamboyantes et son accent chantant ? Sa fille elle-même sait-elle tout de l’histoire familiale ?

Danser encore de Julie Delestrange (Mazarine)

Alexandre, Marco et Sophie connaissent une amitié de trente ans et autant d’amour, de blessures, de déceptions et de joies. Désormais adultes, confrontés au poids du quotidien et des responsabilités, à l’existence et ses tourments, sonne l’heure de faire des choix.
Mais que reste-il des certitudes lorsque le sort frappe au hasard ?
Juste un vertige, profond et déroutant, des liens indéfectibles, et parfois comme la nécessité de respirer, le besoin de danser et celui de s’aimer.
Découvrez la bande de copains drôles et attachants qui a fait le succès d’Hier encore, c’était l’été, et  plongez dans une magnifique histoire d’amitié, un hymne  à l’entraide, qui fait la part belle à la vie et à notre humanité. 

A offrir

Histoire du soir pour filles rebelles  : 100 destin de femmes extraordinaires de Ellena Favilli

Un Best seller international au rayon jeunesse 
Plus d’un million d’exemplaires vendus dans le monde entier ! 
100 portraits de femmes extraordinaires 
100 histoires pour rêver en grand 
100 histoires de femmes extraordinaires à travers l’histoire et le monde : Rosa Parks, Marie Curie, Serena Williams, Malala Yousafzai, Anna Politivskaïa, les soeurs Brontë, Marie Curie, Florence Nightingale… 
Ces femmes du monde entier, connues ou inconnues, jeunes et moins jeunes, ont toutes un parcours étonnant. Elles sont architectes, championnes de boxe, scientifiques, activistes, musiciennes… Leurs histoires inspireront les filles et les garçons, dès l’âge de 5 ans. Plus de 60 artistes, toutes des femmes, illustrent les portraits de ces héroïnes du quotidien.
Un livre à mettre entre toutes les mains ! 

L’Appel de Chtulu illustré de Howard Phillips Lovecraft (Auteur), François Baranger (Illustrations)

Boston, 1926. À la suite du décès, dans des circonstances étranges, de son grand-oncle, Francis Thurston découvre dans les documents dont il hérite l’existence d’une secte vouant un culte à une créature innommable, endormie depuis des millions d’années. Sacrifices indicibles pratiqués dans les bayous de Louisiane meurtres mystérieux perpétrés en divers endroits du globe, artistes sombrant dans la démence après des visions nocturnes terrifiantes, renaissance de cultes ancestraux et surtout , une cité cyclopéenne surgissant de l’océan lors d’une tempête… Thurston va comprendre peu à peu que les recherches de son grand-oncle concernant le culte de Cthulhu étaient bien trop proches de la vérité et que, dans l’ombre, des adeptes oeuvrent au réveil de leur dieu païen, prêts à faire déferler la folie et la destruction sur le monde. Les astres sont alignés. La fin est-elle proche ? Avec cet te nouvelle, Lovecraft écrit dans les années 1920 l ’une des plus fameuses histoires de la littérature fantastique américaine. Cthulhu, le Grand Ancien qui rêve et attend au fond des noirs abysses océaniques, deviendra à lui seul le symbole de tout l’univers créé par l’auteur de Providence. Fasciné depuis toujours par cet te oeuvre peuplée de créatures tapies dans les recoins les plus sombres et d’Anciens titanesques dont la seule vue suffit à vous faire sombrer dans la folie, François Baranger, illustrateur reconnu dans le monde pour ses talents de concept artist pour le cinéma et le jeu vidéo, s’est attelé à la tâche « cyclopéenne » de mettre en images les principaux récits de H.P. Lovecraft.

Voilà pour cette seconde partie, j’aurais pu en mettre beaucoup plus mais bon… Je vous souhaite un excellent week-end !

8 réflexions sur “Les sorties du mois d’octobre qui font (beaucoup trop) envie… (Partie 2 et fin)

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