Top Ten Tuesday : 10 romans historiques pour les non-amateurs du genre

On ne change pas une formule qui gagne, je triche et cela risque d’être comme ça souvent pour les TTT. Disons plutôt que de tricher, je personnalise, j’adapte le top à mon contenu mais aussi à vous mes lecteurs. Personnellement, je ne voyais pas l’intérêt du thème sur les prénoms, donc je m’en passe. Je ne critique pas l’idée, juste que sur mon blog, ça ne me paraissait pas pertinent. Sans doute parce qu’il n’y avait pas matière à débattre, parler etc et que je suis trop bavarde. DONC, revenons-en à notre mouton du jour ! J’ai choisi de vous parler de dix romans historiques ! Oui ! Pourquoi ? Et bien parce qu’il y a 2 ou 3 ans je jurais à qui voulait l’entendre que l’historique c’était pas du tout mon genre et que je n’en lirai pas. Point. Et puis bah… j’ai changé. Alors attention, je ne lis pas de récits historiques, de biographie, témoignages etc. Non je vous parle vraiment de romans historiques : une histoire qui prend place à un moment historique assez crucial. Bref, j’arrête de blablater et voici.

A l’ombre de nos secrets de Lily Haime
Ma toute dernière lecture du genre et qui fut un coup de coeur total. Je vais bientôt vous rédiger ma chronique mais ce livre est totalement bouleversant, magnifique, fort. Nous sommes ici dans la Seconde Guerre Mondiale et sous nos yeux nait une romance magnifique et puissante entre un jeune français amené à devenir résistant et un soldat allemand spécialisé dans les interrogatoires. Amour et haine flirte, les décisions sont lourdes, la confiance nécessaire. Un récit qui vous prend aux tripes et vous fera couler un petit paquet de larmes. Un bijou.

Le résumé : Seconde Guerre mondiale. La passion interdite entre un officier allemand et un résistant français, qui repousseront sans cesse les limites pour survivre et combattre la barbarie.
À quatre-vingt-onze ans, Julien vit aux États-Unis entouré de sa grande famille. Une famille qui ne connaît rien de son passé. Ce jour-là, au crépuscule de sa vie, il se souvient, pour eux…
En 1941, Julien a dix-neuf ans. Le domaine familial, en région bordelaise, est occupé par l’armée allemande. Idéaliste et courageux, le jeune homme se tourne vers la résistance, alors même que l’ennemi est sous son toit. Un ennemi qui peut avoir de nombreux visages… dont celui, saisissant, de Engel, soldat de la Werhmacht qui ne cautionne aucune des horreurs commises par son propre camp, et éveille en Julien des sentiments coupables. À l’heure trouble de l’un des plus grands génocides de l’histoire, au milieu de ces hommes et de ces femmes qui se soulèveront pour leur liberté, l’attirance qu’ils éprouveront l’un pour l’autre les mettra toujours plus en danger.
L’amour peut-il vraiment triompher de la guerre et des préjugés ?

Le chant du Rossignol de Kristin Hannah
Celui-ci je vous en parlais plus d’une fois, mais c’est un tel bijou qu’il serait dommage de passer à côté. Je l’avais prêté à ma mère et elle hésitait à se plonger dedans, car il est assez conséquent, avouons-le. Et puis finalement elle s’est lancée. Et ce qui est magnifique c’est que cela lui a en même temps permis de mieux comprendre ses propres parents, qui ont connu cette guerre, mon grand-père sur le front, ma grand-mère à protéger ses enfants (les deux premières nées pendant cette guerre). Le chant du rossignol est un roman authentique, profond, émouvant et bouleversant. L’histoire de ces deux soeurs qui vivent la guerre comme elles le peuvent à leur manière est tout simplement magnifique. Le résumé : France, 1939. Dans le village de Carriveau dans la Loire, Vianne Mauriac fait ses adieux à son mari qui part au front et se retrouve seule avec sa fille. Elle ne peut imaginer que les nazis vont envahir le pays. Pourtant, lorsqu’un capitaine allemand réquisitionne sa maison, elle est forcée d’accueillir un officier sous son toit. Et fait le choix de protéger sa fille avant la liberté de son pays… Sa sœur Isabelle, 18 ans, a passé son enfance dans des pensionnats depuis la mort de leur mère, et son père décide de l’envoyer vivre avec Vianne. Mais son tempérament rebelle met en danger leurs vies à toutes. Isabelle décide donc de partir vivre à Paris, le jour de l’entrée des Allemands dans la ville. Impétueuse et pleine d’idéaux, elle s’engage très vite dans la Résistance sous le nom de code  » Le Rossignol  » et fait régulièrement passer des aviateurs anglais en Espagne. Deux sœurs, deux destins et deux façons de survivre à la guerre et à l’envahisseur. Un grand roman sur l’amour, la liberté, les idéaux et sur le rôle des femmes pendant la guerre.

Sweet Sixteen d’Annelise Heurtier
Ca va, je ne vous gave pas trop avec ce livre ? J’espère hein. Mais si vous ne l’avez pas encore lu, alors qu’attendez-vous ? Parce que ce roman est indispensable pour mieux comprendre le parcours des Noirs pour intégrer une école réservée au Blancs au coeur des années 50 et 60. Parce que la déségrégation ne s’est pas faite en un jour, parce qu’elle ne fut pas pacifiste et parce qu’il fallait en vouloir pour résister au quotidien. Je me répète mais cette histoire est inspirée de l’histoire réelle de Mebla Patillo et nous sentons toute l’authenticité historique dans ce roman jeunesse. Indispensable.

Le résumé : Rentrée 1957.Le plus prestigieux lycée de l’Arkansas ouvre pour la première fois ses portes à des étudiants noirs. Ils sont neuf à tenter l’aventure. Ils sont deux mille cinq cents, prêts à tout pour les en empêcher. Cette histoire est inspirée de faits réels.

Nora ou le paradis perdu de Cecilia Sanmartin
Parce que Cuba a son histoire aussi et que celle-ci est absolument magnifique. L’amour entre deux cousines, la solidarité. Chacune va vivre totalement différemment l’Histoire d’une Terre qui sera, à tout jamais, chez elles. Une sublime leçon de courage et d’amour. 
Le résumé : Cuba, 1956. Nora et Alicia, deux cousines très proches et complices, vivent une enfance heureuse et insouciante. Mais la révolution éclate, et Fidel Castro accède au pouvoir. Un climat de peur, nourri par la répression, s’installe peu à peu. Nora émigre alors aux États-Unis, laissant Alicia derrière elle, qui s’apprête à vivre des heures sombres à La Havane. Tandis que Nora, bien nostalgique de son pays natal, s’accommode peu à peu de cet environnement nouveau, Alicia subit les coups durs, dans un Cuba où la situation se détériore. Grâce aux lettres qu’elles continuent d’échanger, Nora comprend que la vie d’Alicia est devenu un enfer. Elle décide alors de retourner à la Havane pour lui venir en aide. Mais ce qu’elle va découvrir à Cuba est bien loin de tout ce qu’elle pouvait imaginer.

La voix des vagues de Jackie Copleton
Parce que la Seconde Guerre mondiale c’est aussi l’horreur des bombes atomiques lancée sur le Japon. Avec beaucoup de sensibilité et d’émotions, l’auteure nous offre le récit d’une femme qui a tant perdu qu’elle a fini par fuir. Mais, au crépuscule de sa vie, réapparait celui qui comptait plus que tout… Brillant. 

Le résumé : Lorsqu’un homme horriblement défiguré frappe à la porte d’Amaterasu Takahashi et qu’il prétend être son petit-fils disparu depuis des années, Amaterasu est bouleversée. Elle aimerait tellement le croire, mais comment savoir s’il dit la vérité ? Ce qu’elle sait c’est que sa fille et son petit-fils sont forcément morts le 9 août 1945, le jour où les Américains ont bombardé Nagasaki ; elle sait aussi qu’elle a fouillé sa ville en ruine à la recherche des siens pendant des semaines. Avec l’arrivée de cet homme, Amaterasu doit se replonger dans un passé douloureux dominé par le chagrin, la perte et le remord.Elle qui a quitté son pays natal, le Japon, pour les États-Unis se remémore ce qu’elle a voulu oublier : son pays, sa jeunesse et sa relation compliquée avec sa fille. L’apparition de l’étranger sort Amaterasu de sa mélancolie et ouvre une boîte de Pandore d’où s’échappent les souvenirs qu’elle a laissé derrière elle …

La colline aux esclaves de Kathleen Grissom
Aujourd’hui, plus que jamais, souvenons-nous d’un temps pas si lointain où les hommes, les femmes et les enfants Noirs étaient considérés comme de la simple marchandise. Parce qu’on a pas le droit d’oublier l’histoire d’un peuple. Avec un sens du drame aiguisé, Kathleen Grissom nous plonge au coeur d’une plantation et de ses horreurs et abus. Une épopée fantastique qui verra d’ailleurs « sa suite » (peut se lire indépendamment) dans le roman Les larmes de la liberté. A lire absolument pour entendre et comprendre cette époque et ses enjeux/mentalités. 
Le résumé : À 6 ans, Lavinia, orpheline irlandaise, se retrouve esclave dans une plantation de Virginie : un destin bouleversant à travers une époque semée de violences et de passions… En 1791, Lavinia perd ses parents au cours de la traversée les emmenant en Amérique. Devenue la propriété du capitaine du navire, elle est envoyée sur sa plantation et placée sous la responsabilité d’une jeune métisse, Belle. Mais c’est Marna Mae, une femme généreuse et courageuse, qui prendra la fillette sous son aile. Car Belle a bien d’autres soucis : cachant le secret de ses origines, elle vit sans cesse sous la menace de la maîtresse du domaine. Ecartelée entre deux mondes, témoin des crimes incessants commis envers les esclaves, Lavinia parviendra-t-elle à trouver sa place ? Car si la fillette fait de la communauté noire sa famille, sa couleur de peau lui réserve une autre destinée.

Lettres à Stella de Iona Grey

L’amour plus fort que la guerre, plus fort que le temps, plus fort que les autres… L’histoire d’amour entre Stella et Dan vous fera passer par bien des émotions. Alors que la guerre fait rage, Stella, anglaise, rencontre un aviateur américain, Dan. L’amour entre eux va vite devenir une évidence et pourtant cette histoire semble impossible. Séparés par le quotidien et par la Guerre, subsistent les lettres… Mais que sont-ils devenus ? Ont-ils connu leur happy end ? De nos jours, c’est que Jess, désoeuvrée, va tenter de découvrir. 
Le résumé : À la nuit tombée, fuyant la violence de son compagnon, une jeune femme court dans les rues glacées de Londres. Jess n’a nulle part où aller. Surgissant dans une ruelle déserte, elle trouve refuge dans une maison abandonnée. Le lendemain matin, le facteur glisse une lettre mystérieuse par la porte. Incapable de résister à la tentation, Jess ne peut s’empêcher de la lire et se retrouve plongée dans une histoire d’amour d’un autre temps.1943. Dans une église de Londres bombardée par le Blitz, Stella rencontre Dan, un aviateur américain. Très vite, ils sont irrésistiblement attirés l’un par l’autre. Leur histoire est a priori impossible. Rien ne joue en leur faveur : elle vient de se marier à un pasteur, lui n’a qu’une chance sur cinq de sortir vivant de cette guerre. Perdus et sans repères, la seule chose à laquelle les deux amants peuvent s’accrocher sont les lettres qu’ils s’écrivent, promesses d’un bonheur à venir.Le temps a passé, le destin est cruel, mais Jess est déterminée à savoir ce qui leur est arrivé. Inspirée par cet amour, portée par son enquête, elle trouvera à son tour les clefs d’un avenir meilleur.

Geisha de Arthur Golden
Parce qu’elle sont aussi l’Histoire, qu’elles font rêver ou au contraire envoient une image particulièrement négative, le roman d’Arthur Golden, certes fiction, s’inspire de la vie de ces femmes destinées au plaisir des hommes. Loin du cliché de la prostitution, c’est plutôt un enseignement impitoyable que nous allons suivre et l’ascension d’une jeune fille dans un milieu qu’elle n’a jamais désiré. Romantique, elle espère trouver sa porte de sortie auprès d’un homme mais elle est aussi déterminée à retrouver sa soeur dont elle fut séparée quand son père prit la terrible et cruelle décision de les vendre.

Le résumé : À neuf ans, dans le Japon d’avant la Seconde Guerre mondiale, Sayuri est vendue par son père, un modeste pêcheur, à une maison de plaisir de Kyoto.Dotée d’extraordinaires yeux bleus, la petite fille comprend vite qu’il faut mettre à profit la chance qui est la sienne. Elle se plie avec docilité à l’initiation difficile qui fera d’elle une vraie geisha. Art de la toilette et de la coiffure, rituel du thé, science du chant, de la danse et de l’amour : Sayuri va peu à peu se hisser au rang des geishas les plus convoitées de la ville. Les riches, les puissants se disputeront ses faveurs.Elle triomphera des pièges que lui tend la haine d’une rivale. Elle rencontrera finalement l’amour…Écrit sous la forme de mémoires, ce récit a la véracité d’un exceptionnel document et le souffle d’un grand roman. Il nous entraîne au cœur d’un univers exotique où se mêlent érotisme et perversité, cruauté et raffinement, séduction et mystère.

No home de Yaa Gyasi

Pour connaitre l’histoire d’un peuple au fil des générations et les destins d’une descendance. L’esclavage et la déségrégation y seront abordés avec justesse de même que la culture forte et sublime de nos héros. Un roman à couper le souffle. Il fut l’un de mes premiers coups de coeur de l’année.

Le résumé : Maama, esclave Ashanti, s’enfuit de la maison de ses maîtres Fantis durant un incendie, laissant derrière elle son bébé, Effia. Plus tard, elle épouse un Ashanti, et donne naissance à une autre fille, Esi. Ainsi commence l’histoire de ces deux demi-sœurs, Effia et Esi, nées dans deux villages du Ghana à l’époque du commerce triangulaire au XVIIIe siècle. Effia épouse un Anglais et mène une existence confortable dans le fort de Cape Coast, sans savoir que Esi, qu’elle n’a jamais connue, est emprisonnée dans les cachots du fort, vendue avec des centaines d’autres victimes d’un commerce d’esclaves florissant avant d’être expédiée en Amérique où ses enfants et petits-enfants seront eux aussi esclaves. Grâce à un collier transmis de génération en génération, l’histoire se tisse d’un chapitre à l’autre : un fil suit les descendants d’Effia au Ghana à travers les siècles, l’autre suit Esi et ses enfants en Amérique.

City on fire de Garth Risk Hallbert

Ce roman fait son retour en version poche. Les avis, très partagés n’ont pas tous accordés les mêmes faveurs au récit que j’ai pu le faire. Pourtant, j’avais vraiment aimé plonger dans cet univers punk et New Yorkais des années 70. Beaucoup de personnages, un lien qui les unit. Un roman chorale puissant et épatant !

Le résumé : 31 décembre 1976. New York se prépare pour le réveillon. Chez les Hamilton-Sweeney, Felicia accueille financiers et mondains tandis qu’à l’autre bout de la ville, dans le Lower East Side, Charlie, venu de Long Island, attend Sam pour assister à un concert punk. Mais Sam a un autre rendez-vous auquel elle tient plus que tout. Elle retrouvera Charlie dans quelques heures à la station de métro de la 72e Rue. À quelques encablures de là, dans Hell’s Kitchen, Mercer Goodman tourne et retourne un délicat carton d’invitation. Et s’il se rendait à la réception des Hamilton-Sweeney pour retrouver Regan, cette sœur que William, en rupture avec sa famille, lui a toujours cachée ? Pourquoi ne pas saisir l’occasion d’en apprendre plus sur William, son amant, l’ancien leader du groupe punk Ex Post Facto ?
Bientôt, des coups de feu retentissent dans Central Park. Une ombre s’écroule dans la neige…
Qu’est-ce qui peut bien unir ces êtres – qui n’auraient jamais dû être amenés à se rencontrer – à un meurtre commis au cœur de Central Park ? Au sein de ce roman choral, leurs histoires s’entremêlent et nous entraînent dans les recoins les plus infimes de la ville.

Les liens des autres TTT sont réunis chez frogzine :

Belle journée à vous 

27 réflexions sur “Top Ten Tuesday : 10 romans historiques pour les non-amateurs du genre

  1. Pinklychee dit :

    Oh Geisha, j’ai adoré ce roman! Cette plongée dans le Japon et dans l’univers de ces femmes était top, c’est un bijou! Sinon je me rappelle avoir lu et adoré la trilogie sur Tatiana et Alexandre (bon ok sauf le tome 3, j’ai eu plus de mal) de Paulina Simmons, si tu ne l’as pas lue je te la conseille! 🙂
    Belle semaine!

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    • BettieRose dit :

      Ah je note car en effet je n’ai pas lu ni même entendu parler ! Merci du conseil et de la découverte.
      Tout à fait d’accord pour Geisha (le film est pas mal du tout d’ailleurs même si comme d’habitude je préfère le roman).

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  2. 🍉LePuydesLivres🍉 (@puydeslivres) dit :

    A l’ombre de nos secrets de Lily Haime a l’air terriblement poignant ! Je vais guetter ton avis.
    La voix des vagues m’a énormément plu et pourtant je ne suis pas une amatrice de lecture nippone.

    Lettres à Stella est en tête de ma liste d’envie !

    Comme toi, on m’aurait dit que je lirais des romans historiques aujourd’hui, je n’y aurais pas cru une seconde. Et pourtant Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates m’a fait changer d’avis. Depuis je prends beaucoup de plaisir à en lire…

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  3. Vampilou fait son Cinéma dit :

    En fait, ce top tu l’as créé pour moi ma belle ?! Tu le sais, l’historique n’est vraiment pas mon truc, mais depuis que je suis ton blog, j’avoue m’y intéresser beaucoup plus, je t’en remercie grandement d’ailleurs 😃

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  4. anouklibrary dit :

    Il y a tellement de romans dans ton TTT qui sont dans ma bibliothèque et je me dis à chaque fois en passant devant « toi, je dois te lire » et puis le temps passe… 😦
    Je te rejoins en tout cas à 100% sur Nora ou le paradis perdu (très très gros coup de coeur) et sur La colline aux esclaves 🙂 Je suis une fan des romans historiques, je trouve qu’il m’apporte énormément et c’est un genre dans la littérature que je ne néglige jamais. Après, j’ai mes périodes historiques préférées, notamment la Seconde Guerre Mondiale, les années de la ségrégation raciale, les années 60 en France, etc.

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  5. Ma toute petite culture dit :

    Aaahhh Le Chant du Rossignol, cette merveilleuse merveille ! J’avais beaucoup aimé Geisha également ! Lettres à Stella est une de mes prochaines lectures, j’ai hâte de m’y plonger !
    Par contre, je ne savais pas que City on Fire était un roman historique, je pensais que c’était plus un thriller ?

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    • BettieRose dit :

      City on Fire prend vraiment place dans le contexte historique New Yorkais punk et échauffement, ras le bol etc. Rien que pour cela il est très très enrichissant. Après, en effet, il y a une enquête sur un assassinat mais cela ne saurait être réduit à thriller, il est bien plus complexe à mon sens.

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  6. Carnet Parisien dit :

    City on fire m’effraie énormément, je ne pense pas que je le lirai (même si je suis très curieuse de savoir ce qu’il contient). Je plussoie totalement La Colline aux esclaves évidemment. Et Sweet Sixtine et le Chant du Rossignol sont dans ma PAL 🙂

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  7. La route des lecteurs dit :

    Lily Haime me tente depuis un moment mais ce que tu dis de « À l’ombre de nos secrets » m’intrigue encore plus alors j’attends ta chronique avec impatience ! Le chant du Rossignol me tente depuis sa sortie et, pourtant, je ne l’ai toujours pas lu … 😦 Il faut que je découvre La colline aux esclaves : plus le choix 😀 J’ai vu que Lettres à Stella sortait en poche fin mai et je suis plus que ravie !! ENFIN ! Geisha est un roman que j’aimerais lire un jour dans ma vie 😉

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